En Inarlyth, il existe de nombreuses formes de magies, certaines sont cependant plus répandues que d’autres. La plus répandue d'entre elles est la magie divine, elle est si dominante par rapport aux autres formes de magie qu'elle est souvent appelée “magie” par abus de langage.

Les pratiquant·es de la magie sont appelé·es mages ou magicien·nes. Ils représentent 5 % de la population humaine.
Les personnes qui passent pas les écoles sont des pratiquant·es.
Les personnes qui ne passent pas par les écoles sont appelées mystiques (mais aussi sages dans les villages et inconscients parmi les autres mages). Ce sont des personnes qui ont appris à utiliser la magie sans suivre les cours d’une école en particulier. Les sages qui aident leur village et les prêtres d’un divin sont des exemples de mystiques. 40 % de mages sont des mystiques.
Les personnes ne maîtrisant pas la magie n’ont pas la faculté sont appelées amages.

La magie divine doit son nom au fait qu'elle a été enseignée aux peuples par l'intermédiaire des divins. Les premiers enseignements remontent à l'âge de l'éveil.
Cette magie est complexe et couvre de très nombreux cas d'utilisation de la magie et près de 99% des phénomènes magiques étudiés.

Elle se décompose en plusieurs écoles. Se distingue l'école de Thaumaturgie des autres écoles (dites non-thaumaturges) parce que cette première forme de magie est apparue bien avant les autres formes dans l'histoire des peuples.

Première école, les enseignements de cette magie furent les premiers que les divins transmirent aux peuples civilisés.
Les pratiquant·es de cette école sont des thaumaturges. Ils représentent près de 55 % des mages.

Ci-dessous les domaines principaux :

• Vie/Nature
• Feu
• Eau
• Terre
• Vent

Voici les sous-domaines de cette école :

• Glace
• Foudre
• Sable
• Ombre

Une académie de thaumaturgie enseigne généralement les cinq domaines et quelques-uns des sous-domaines.
Les étudiants peuvent tous connaître les sorts de bas niveaux des domaines principaux mais les mages ne maitrisent généralement que un à deux domaines. Chacun demandant des années de pratique pour parvenir à la maîtrise.

Il s'agit des écoles de magie qui ont été découvertes et approfondies bien plus tardivement dans l'évolution des peuples, au cours de l'Âge divin.
Les pratiquants sont des sorciers et ils représentent près de 45 % des mages.
les académies non-thaumaturges regroupent généralement les enseignements de deux à trois écoles.

Elle concerne tout ce qui est lié au corps. On y retrouve notamment comme grands concepts la métamorphose, la chimérisation et le renforcement du corps.
30 % des sorciers sont des pratiquants de cette école.

Elle concerne tout ce qui est lié au cerveau. On y retrouve notamment comme grands concepts l'illusion, la faculté de lire et de modifier des pensées ainsi que des malédictions.
20 % des sorciers sont des pratiquants de cette école.

Elle concerne tout ce qui est lié à la mort. On y retrouve notamment comme grands concepts la dépréciée manipulation des morts ainsi que la populaire la faculté de communiquer avec les esprits.
15 % des sorciers sont des pratiquants de cette école.

Elle concerne tout ce qui est lié à l'espace et aux plans. On y retrouve notamment comme grands concepts la téléportation, le stockage dans une autre dimension ainsi que l'invocation.
10 % des sorciers sont des pratiquants de cette école.

Elle concerne tout ce qui est lié à l'étude de la magie. On y retrouve notamment comme grands concepts la contre-magie et la protection.
25 % des sorciers sont des pratiquants de cette école.

Quelle que soit l'école de magie maîtrisée ou préférée, chaque mage a recours à différentes techniques pour lancer des sortilèges. Tou·tes ont les bases de chacune des techniques en sortant de l'académie mais chacun·e a des affinités avec une pratique en particulier.

Les incantateurs/incantatrices sont les personnes capables de lancer un sort en usant de la parole pour quémander des interventions divines. Il s'agit principalement de personnes qui prêchent auprès des divins. Ils représentent 25 % des mages.
La force de leur dévotion joue sur la puissance de leurs sorts. Iels sont capables de lancer des sorts sans préparation et leurs études reposent sur la connaissance de la divinité (ou des divinités) qu'ils décident de vénérer.

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Les constellationnistes sont les personnes qui usent de représentations mentales pour lancer des sorts. Iels ont cependant besoin d'un catalyseur pour donner forme à leur magie. Ils représentent la majorité des mages (35 %).
La force de leur esprit et leur mémoire leur permet de conceptualiser des sorts puissants rapidement.

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Les ritualistes sont les personnes qui ont recours à de longues préparations par le biais de divers artefacts et objets chargés de magie. Iels représentent 10 % de la population des mages.
Leurs sortilèges font partie des plus puissants mais aussi des plus longs à mettre en place et des plus dangereux à préparer.

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Les enchanteurs/enchanteresses sont des personnes dont la spécialité est de liée la magie aux objets à l'aide de formules et de divers composants permettant d'associer la magie à un objet. Iels représentent 25 % des magicien·nes.
Il s'agit d'une pratique qui se révèle particulièrement longue à mettre en place et qui demandent beaucoup de connaissances théoriques, notamment pour faire cohabiter plusieurs types d'enchantements sur un même objet. C'est une pratique très adaptée à l'ensorcellement d'objets du quotidien tels que des bijoux ou des armes.

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Les runistes sont parfois confondu·es avec les personnes qui enchantent les objets parce qu'à leur instar, ils sont capables d'insuffler de la magie dans des objets mais en gravant des runes de pouvoirs. Iels ne représentent que 4 % des mages.
Il s'agit d'une pratique qui se révèle particulièrement longue à mettre en place et qui demandent beaucoup de connaissances théoriques, notamment pour faire cohabiter plusieurs types de runes sur un même objet. C'est une pratique magique très adaptée à la protection de bâtiments.

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Les déviant·es sont des pratiquants de la magie dont l'utilisation ne s'inscrit dans aucun cadre connu ou suffisamment étudiés. Iels ne représentent les 1 % des mages dont la pratique ne peut être assimilée à une école de magie.
Chaque déviant·e semble avoir sa propre pratique qui ne répond à aucune logique théorique.

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Amages comme mages peuvent avoir recours à la magie de manière détournée.

Les occultistes sont des personnes qui tirent leur puissance magique d'une entité magique supérieure, non-divine, telle qu'un dragon ou un démon. C'est une pratique considérée comme contre-nature parce que n'importe quel amage peut se prétendre mage et suivre les cursus classiques de cette manière mais aussi parce que certains mages l'utilisent pour dépasser leurs propres limitations.
Pour devenir occultiste un rituel complexe est nécessaire durant lequel la personne est liée à l'entité au travers d'un totem qu'il doit constamment garder sur lui pour tirer puissance du lien magique. C'est une pratique très mal vue par les mages.

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Cette science utilise les propriétés magiques des plantes, des minéraux et des êtres vivants pour créer des décoctions et onguents qui améliorent ou modifient certaines aptitudes. Aucune affinité magique n'est nécessaire pour devenir alchimiste, uniquement beaucoup d'études, de lecture et de pratique.
Les alchimistes sont mal vus par les herboristes parce que leurs sciences sont similaires mais basées sur des paradigmes différents, la population globale et les mages considèrent d'un oeil neutre l'alchimie car elle est suffisamment éloignée de la magie pour en être dissociée.

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